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 Les buralistes souhaitent l'exclusivité de la vente de la cigarette électronique11/1/14  Avec la baisse de vente du tabac, dût à la hausse des prix, l’afflux des cigarettes classiques achetées hors frontières, et de la croissance de plus en plus forte des ventes de cigarette électronique, les buralistes souhaitent récupérer l’exclusivité de la vente des e-cigarettes.
Ce phénomène constaté depuis 2012-2013 prend de l’ampleur.La vente du tabac en France continue son déclin, au grand dam des cigarettiers, mais également des buralistes qui en assurent la vente exclusive. Effectivement, c’est conforme à une étude diffusée par « Le Losange », la revue des 24.000 buralistes de France, en décembre 2013. Les cigarettes fumées sur le territoire Français ne sont pas toutes achetées chez le débitant de tabac de l’hexagone, environ 25 % des cigarettes classiques proviendrait de la contrebande ou de l’achat à l’étranger. Parallèlement, les ventes de la cigarette électronique se développent à un rythme soutenu, le nombre de vapoteur est passé de 500.000 à 1,5 Million entre 2012 et 2014. Cela a conduit à une véritable bataille à l’échelle Européenne pour déterminer qui aura l’exclusivité, ou le droit de vendre la cigarette électronique, qui est devenu un objet de bien des convoitises. Les pharmaciens ont déjà été éconduits suite à une décision prise par Bruxelles, déclarant que la cigarette électronique n’était pas un médicament, ce sont ensuite les buralistes qui en revendiquent l’exclusivité. Pas de véritable réglementation pour l'instantSi l’e-cigarette est aujourd’hui le produit le plus fiable pour arrêter le tabac, c’est également pour ceux qui la vendent un commerce très rentable, qui fait des jaloux. Sans réelle réglementation actuellement, le nombre de boutique spécialisée dans l’e-cigarette apparaissent tous les jours sur le territoire Français, et sur Internet. En reprenant La Civette rue du commerce à Blois, M. Afflard a rapidement compris l’intérêt d’ouvrir une boutique de cigarette électronique : « Au bout d'un mois ou deux, j'ai pu constater qu'il y avait une vraie attente des clients. Le marché de la cigarette électronique connaît une forte évolution et je pense que ça va continuer. Non-fumeur, je me suis mis à la cigarette électronique – en zéro nicotine – pour mieux connaître les produits que j'allais vendre et pour pouvoir conseiller ma clientèle. J'ai un bon emplacement et une vraie boutique d'articles pour fumeurs, mais il est indispensable de consacrer du temps à chaque client. Il faut se donner les moyens – en général pas moins de vingt minutes – pour conseiller efficacement le client, faire tester. Ça me paraît très difficile voire impossible quand on tient un bar-tabac, sauf à recruter. » Cordialement, L’équipe Top Cigarette Electronique Partagez sur les réseaux sociauxCatégorieAutres publications pouvant vous intéresser :Commentaires :Laisser un commentaire Aucun commentaire n'a été laissé pour le moment... Soyez le premier ! |
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