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En France, l’e-cigarette est un business qui promet, malgré les limitations de son usage27/11/14 Le journal Suisse « Le Temps » a interrogé Monsieur Brice Lepoutre, président de l’AIDUCE (Association Indépendante Des Utilisateurs de Cigarette Electronique), au sujet de la tendance du marché de la cigarette électronique en France, ainsi que de son analyse de la situation et de ses raisons.
L’AIDUCE a noté un tassement des ventes d’e-cigarette et regrette parallèlement à cela une remontée du tabagisme, en rapport avec des messages négatifs générant l’inquiétude des (futurs) consommateurs. L’association de son côté essaie d’informer les différents acteurs. En France, l’e-cigarette est un business qui promet, malgré les limitations de son usageLe marché de la cigarette électronique se professionnalise. Le chiffre d’affaires (C.A) des boutiques spécialisées a baissé avec la multiplication des points de vente. L’AIDUCE pointe une “reprise du tabac en lien avec des messages négatifs sur le vapotage”. Fin 2013, le marché de l’e-cigarette et des e-liquides nicotinés avait explosé en France. “C’était un mouvement frénétique. N’importe quelle boutique, même très mal placée, avait sa chance”, se souvient Monsieur Sébastien Haas, patron de trois points de vente en Haute-Savoie et d’un autre à Genève. Entre Octobre 2013 et Janvier 2014, So Smoke, sa première enseigne, a réalisé 100 000 euros de C.A mensuel. Ce chiffre “délirant” est aujourd’hui tombé de moitié. “Annemasse compte désormais six ou sept boutiques. La part du gâteau est réduite et le marché se resserre”, dit-il. Autre facteur de baisse, selon le commerçant, la phase d’achat du matériel de base est passée. “Désormais, environ 70% du chiffre d’affaires provient de la vente de fioles de liquides nicotinés”, souligne Monsieur Sébastien Haas. Qui pointe aussi une multiplication “des contrefaçons chinoises, avec des réservoirs qui fuient, qui chargent mal et qui ne s’éteignent pas automatiquement ; ce qui nuit au business et à l’image de l’e-cigarette.” Malgré les restrictions prévues en France autour de l’usage de ce produit, Monsieur Sébastien Haas – dont le magasin Suisse sans nicotine “ne dégage pas de bénéfices” – est persuadé que le marché de l’e-cigarette garde “un magnifique avenir”. L’homme compte ouvrir dans un avenir proche un quatrième magasin à Annemasse. A Paris, l’Aiduce confirme le tassement de la croissance des ventes des vapoteuses. “Pour la première fois depuis 2013, le tabac remonte”, regrette son président, Monsieur Brice Lepoutre, allusion à une baisse historique des ventes de tabac dans le pays l’an passé. “Les interdictions dans les entreprises créent un sentiment de peur autour de l’e-cigarette”, regrette l’AIDUCE, qui a été reçue en Octobre par le Ministère de la santé. “Le contenu des messages sur l’e-cigarette est crucial”, juge Monsieur Brice Lepoutre, dont l’association distribue un fascicule d’information aux médecins. Source : Le Temps Cordialement, L'équipe Top Cigarette Electronique Partagez sur les réseaux sociauxCatégorieAutres publications pouvant vous intéresser :Commentaires :Laisser un commentaire Aucun commentaire n'a été laissé pour le moment... Soyez le premier ! |
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